Ou comment la publicité évolue.
Il est jamais facile, il est vrai de se passionner pour quelque chose qui semble parfois sur le point de disparaître… C’est frustrant.
Et pourtant rien ne sert de se voiler la face. Voici donc un peu petit sujet destiné à mettre en perspective la révolution qu’est sur le point de vivre la publicité traditionnelle telle qu’on la connaît.
Vous savez celle des agences mégalos (aux noms tout plein des initiales des gens qui les ont crées), des méga-budgets-TV, et des conflits récurrents entre créas et commerciaux.
Mais à SO Blink on ne va pas vous faire une thèse là-dessus parce que :
1) On est pas forcement les plus qualifiés pour ça
2) Pas le temps (malheureusement)
3) Ce serait chiant rébarbatif, non?
Alors, on va se contenter de vous illustrer ce décalage par :
– d’une part la série Mad Men qui a fait un carton au USA. Et qui fera office d’image d’Épinal de la bonne vielle réclame à la papa façon Procter & Gamble. Pour la créativité il faudra repasser…
On notera toutefois une magistrale leçon de disruption avant l’heure dans le premier épisode, où le héros (à mi-chemin entre directeur de création et planneur stratégique) trouve la baseline de Lucky Strike (« It’s toasted »)
(Pour info Mad Men était le surnom auto-proclamé des publicitaires de Madison avenue, NYC)
– Et sans transition, un petit bond cinquante ans plus tard (aujourd’hui) avec cette très ludique illustration du Marketing digital :
(trouvé sur BlogtheCom)
– Et enfin, une vision d’avenir : la réalité augmentée. La future nouvelle arme de la communication 72.0! (au moins).
Ce support laisse présager des débouchés exceptionnels en terme de publicité sur lesquels nous reviendrons régulirèrement sur So Blink, convaincus que nous sommes par les nouveaux modes d’expression.
Such a gap, isn’t it.?
La pub change, c’est donc un fait. Et une bonne nouvelle car finalement de la réclame à son alternative, l’évolution tient principalement en la place croissante accordée au ludique. Et la prise en compte nouvelle du consommateur, de son pouvoir de décision, de ses besoins bien sûr (car n’est-ce pas la publicité elle même qui est censée les créer?) mais aussi de ses … envies!
So cool!